Armond Rizzo, Brandon Hawk & Owen Hawk

Armond Rizzo & Rikk York

Armond Rizzo

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Ruslan Angelo: Gang Bang

Cum

Tu peux avoir la meilleure intro, le jeu d’acteur le plus sex, la réalisation la plus parfaite parfaite, les gémissements les plus intenses… Mais s’il y a une chose qu’on attend tous quand on regarde une scène porno gay, c’est l’éjac. Ce moment où tout s’emballe, tout déborde, tout s’achève dans un cri, un râle, un jet de foutre. C’est pas juste la fin d’une scène : c’est l’apothéose. L’éjac, c’est le moment où le fantasme devient réel, où le corps trahit le plaisir. C’est la preuve vivante que le kiff a été total et que le désir a traversé tout le corps pour finir en une giclée puissante de sperme.

Dans le porno gay, c’est un des moments les plus attendus par les fans. L’éjac condense en quelques secondes l’intensité de toute la scène. Et surtout, l’éjac en dit énormément : qui domine, qui se donne, qui reçoit, qui décharge. Les éjacs racontent beaucoup sur le rapport entre l’actif et le passif. Quand un actif décharge, il offre son plaisir et il impose son pouvoir. Quand un passif le sperme, il accueille, absorbe, honore le foutre. Il devient le support du désir de l’autre. L’actif crie, pousse, serre les dents. Le passif ouvre la bouche, ferme les yeux, cambre le dos. Une chose est sûre, entre eux un élément unique circule : le foutre, messager du plaisir, signature liquide du moment vécu.

Observons de plus près les différentes éjacs qui nous obsèdent tous. 

• L’éjac faciale
  Mythique. Visuelle. Dominante. Quand le passif se prend tout sur le visage, sur le front, sur la joue, sur la bouche, sur les paupières. C’est un acte de puissance, mais aussi de connexion. Une scène peut s’achever là-dessus, la queue de l’actif devient comme un pinceau et son sperme une explosion de peinture.
• L’éjac buccale
  Souvent plus intime. Quand le passif avale ou laisse couler le sperme. Il reçoit le plaisir de l’autre dans la bouche, parfois en souriant, parfois en le remerciant d’un regard. C’est un don total pour l’actif comme pour le passif. Et quand c’est filmé de près ? C’est de la pure poésie crue.
• L’éjac sur le torse / corps
  Plus sensuelle. Plus artistique. Le foutre devient un fluide sexy : il ruisselle sur les abdos, coule entre les pecs, se mêle à la sueur. Parfaite pour les ralentis et les gros plans. Une signature de fin, version sexe contemporain.
• L’éjac anale
  C’est probablement l’éjac ultra culte la plus attendue, surtout dans les productions bareback.
  Quand l’actif décharge à l’intérieur, dans le cul du passif avec quasiment tout le temps un plan post-éjac, dans lequel on peut admirer et savourer le sperme qui coule entre les fesses du passif ou qui sort en filet lent. C’est brut. C’est sublime et c’est le summum du plaisir.

L'éjaculation dans le porno gay n'est pas juste un acte physique, c'est un symbole de désir, de puissance et de performance. C’est le moment culminant d'une scène, le point d'orgue qui récompense l'attente et intensifie l'expérience. Pour les pros du sexe, l'éjac devient une forme d'art, une expression visuelle et émotionnelle. C'est ce geste, puissant et esthétique, qui marque les esprits des fans, qui le revivent encore et encore. L’éjac, c’est la cerise blanche sur le gâteau, celle qui rend la scène inoubliable. 

Voici en images quelques-unes des plus belles éjacs du porno gay.